Bovins de boucherie Le commerce reste fluide
L’offre saisonnière est modeste, mais le niveau des ventes recule dans les magasins. Face à l’inflation, les ménages se rabattent sur des produits de base et délaissent les pièces nobles, les labels et les viandes bio.
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L’activité commerciale de ce début de semaine laisse apparaître un certain équilibre. Les prix sont reconduits sur le marché de Cholet, où les femelles blondes d’Aquitaine lourdes se sont négociées entre 5,50 et 5,85 €/kg de carcasse.
Les bonnes parthenaises restent valorisées entre 6,30 et 6,50 €/kg pour les E et de 5,40 à 6,20 €/kg pour les U. Les prix des vaches limousines U se maintiennent entre 5,40 et 5,70 €/kg. Ceux des charolaises R+/U- sont stables à 5,35 €/kg. Le commerce est à l’équilibre dans les charolaises ou les rouges des prés. Les tarifs des sujets des R oscillent entre 5,15 et 5,30 €/kg.
Pas de changement du côté des réformes laitières. Les tarifs des prim’holsteins O se maintiennent entre 4,85 et 4,90 €/kg. La grande majorité des vaches P=3 de plus de 300 kg se négocient entre 4,70 et 4,80 €/kg. Dans les P2, la notion de poids est primordiale, car si les lourdes se vendent entre 4,60 et 4,70 €/kg, les légères chutent rapidement à 4 €/kg. Les vaches P1 se vendent entre 3,20 et 3,60 €/kg en fonction des abattoirs.
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